Et puis après une grosse peur d'ouvrir ce livre je suis en plein dans "La Mort est mon métier", de Robert Merle, auteur dont j'ai dit, dans un autre post ici, combien il m'impressionnait. C'est le cas une fois de plus. L'empathie pour ce pauvre petit enfant dont on sait qu'il va devenir l'un des pires nazis est totale, et totalement troublante. L'écriture est décidément de la dynamite.
J'enchaîne des lectures qui n'ont rien à voir, à part leur force d'évocation et leur statut de roman. Le Confident, d'Hélène Grémillon, dont la construction m'a bluffée. Classique sans doute, mais très bien ficelé, ce récit à plusieurs voix dont chacune, écrivant sous un statut différent (narratrice principale, auteur de lettres non signées, auteure d'un Journal) vient compléter et réinterpréter par ses mots ceux que les autres ont posés.
Et puis après une grosse peur d'ouvrir ce livre je suis en plein dans "La Mort est mon métier", de Robert Merle, auteur dont j'ai dit, dans un autre post ici, combien il m'impressionnait. C'est le cas une fois de plus. L'empathie pour ce pauvre petit enfant dont on sait qu'il va devenir l'un des pires nazis est totale, et totalement troublante. L'écriture est décidément de la dynamite.
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